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décès

Journal télévisé anglais : Décès excessifs non COVID au Royaume-Uni ! (vidéo)

Le 10/01/2023

Selon le correspondant santé de Sky News, Ashish Joshi, il y a eu un nombre alarmant de décès enregistrés en Angleterre et au pays de Galles par rapport aux années précédentes ! En effet, le nombre total de décès excédentaires (hors décès dus au covid-19)  a atteint 22 040 au cours des six derniers mois, ce qui représente une moyenne de 848 décès par semaine. C’est une situation alarmante et les raisons exactes de ces décès excédentaires sont encore inconnues, mais il est crucial de s’inquiéter de cette situation et d’en trouver les causes.

 

Journal télévisé portugais : Inquiétante augmentation de la mortalité chez les jeunes (vidéo)

Le 10/01/2023

Portugal : Inquiétante augmentation de la mortalité chez les jeunes !

Lors du journal '8' (NDLR, équivalent du 20h en France) sur la chaine portugaise TVI du 5 septembre 2022 (voir vidéo ci-dessous), une information critique alerte le pays. La présentatrice du JT, Andréa Vale, annonce d'un ton grave, l'apparition de données inquiétantes d'une épidémie de mortalité juvénile au Portugal "Au cours des 12 derniers mois, 360 adolescents entre 14 et 25 ans sont décédés. Le mois d'août dernier a été le pire mois, de mémoire d'homme."

Au Portugal, le taux de vaccination atteint 98 % parmi la population éligible au vaccin. Comment ce pays, qui occupe désormais la sixième place du classement au niveau mondial, est-il devenu champion d’Europe en matière de couverture vaccinale ?

Article : Le Portugal champion d'Europe de la vaccination anti-Covid : les recettes d'un succès

Anecdotiques (documentaire en vostfr)

Le 08/01/2023

Anecdotiques

En mars 2021, après avoir reçu mon vaccin Pfizer, je n'ai pas senti le côté gauche de mon visage pendant un mois. Dix-huit mois plus tard, les chocs électriques et la faiblesse musculaire continuent. Incapable de recevoir la 2e dose, je fais partie d'un groupe de personnes partiellement vaccinées qui ont été exclues de nombreux aspects de la société sans empathie. On nous a censuré et on nous a dit qu'il était contraire à l'éthique de parler de nos histoires parce que nous ne sommes que des anecdotes

Ce film donne un aperçu de la vie des anecdotiques – ceux d'entre nous dont la vie a été radicalement changée par la prise du vaccin. Cela reflète également la division et la politique qui nous empêchent d'obtenir les soins dont nous avons tant besoin. Anecdotiques est un voyage personnel qui se concentre sur des questions, pas des réponses, et des gens, pas de la politique.

Dr Roger Hodkinson 20 millions de morts du vaccin Covid (vidéo)

Le 08/01/2023

Dr Roger Hodkinson : "20 millions de morts, 2 milliards de blessés graves à cause du vaccin Covid-19. Un carnage tout simplement inimaginable. C'est sans compter les décès futurs, les décès par cancer, les morts subites, les maladies cardiaques, et ainsi de suite...

Témoignage du père de Karine, décédée après sa troisième injection Moderna

Le 24/12/2022

Karin

Ceci est le Témoignage de Dominique BAUDINAUD, père de Karine :

En septembre 2021, ma fille Karin qui avait 46 ans avait fait un parcours médical pré-opératoire d’une semaine bloquée, dans un hôpital de Bordeaux parce qu'elle voulait se faire opérer d’un Bypass de l’estomac.

Elle y a consulté un Cardiologue, un Psychiatre, une Diététicienne, des Biologistes, etc ...

Tous les examens effectués n’ont montré aucune restriction pour qu’elle puisse effectuer cette procédure chirurgicale.

En Décembre 2021, elle avait fait un bilan sanguin complet impeccable...

Pas de maladie génétique non plus.

Elle était parfaitement au courant de ma grande méfiance, depuis le début, envers ces pseudo vaccins qui était proposés mais, pour son travail et pour nourrir ses 2 enfants, elle avait été obligée de se faire injecter 2 puis une 3ème dose de Moderna respectivement en Mai, Juin et Décembre 2021 et elle ne s’était plainte d’aucun effet secondaire.

Elle était même contente qu’on lui ai dit que ça serait du Moderna parce que les noms des autres produits ne lui plaisaient pas !

Le 4 Janvier 2022 elle a passé un Echo-Doppler du foie pour son parcours pré-opératoire et cet examen, que nous avons eu quelques jours après au domicile de ma fille, s’est avéré lui aussi sans aucun problème particulier non plus.

Tout allait bien ...

Sauf que ... 1/4 d’heure après cet Echo-Doppler, sur le parking de l’hôpital elle s’écroule, non loin de sa voiture et elle pourra juste dire : «Je ne me sens pas bien» ... et puis elle est tombée dans le coma.

Après sa prise en charge à l’hôpital elle est placé en coma artificielle puis, après qu’ils aient constaté l’étendue des problèmes, elle était considérée inopérable et a été déclarée en coma dépassé ... elle était morte.

Le médecin de l’hôpital qui s’est occupé d’elle nous a avoué qu’il ne comprenait pas du tout ce qui avait pu lui arriver. Il écrira dans son compte-rendu qu’elle avait brutalement eu d’énormes quantités de caillots sanguins dans tout le corps et les membres, des AVC cérébraux massifs, que les reins et la rate étaient morts et que le coeur ne fonctionnait plus qu’à 50%.

Tout ça en 1/4 d’heure !!!

L’injection anti-covid Moderna l’avait tuée.

Je peux affirmer actuellement que toutes les autres marques de ces produits sont tout aussi potentiellement mortelles !

Depuis cette date, j’ai fait énormément de recherches sur internet, j’ai obtenu les compte-rendus et les dossiers complets de ma fille, j’ai fait une déclaration de Pharmacovigilence ... et puis, un jour des informations venues de plusieurs sources et de nouveaux contacts que je m’étais fait, m’ont affirmé qu’il ne pouvait en être autrement ... ce sont les contenus potentiellement mortels, ceux dont personne ne veut entendre parler, qui l’ont fait mourir ... et tout particulièrement le graphène.

Certains de mes contacts laissent entendre que, tout comme la 5G peut s’avérer très nocive pour les personnes injectées, il était envisageable que, pour que ça se passe juste après cet Echo-Doppler, c’est que les ondes électro-magnétiques de ce dernier avaient servi d’activateur final du Graphène.

Adieu ma fille !

Merci d’avoir écouté mon témoignage.

 

L'intégralité des données chronologiques de la mort de ma fille se trouve dans mon dernier Blog

 

Dans cette vidéo j'explique comment ma fille est décédée après avoir reçu la 3ème dose de Moderna.

Vous pouvez contacter Dominique sur son mail, il souhaite regrouper toutes les familles victimes des effets indésirables graves ou décès post-injection.Mail domi temoignage

Vous trouverez également sur sa chaîne vidéo d’Odysee ses différentes documentations.

Témoignage d'une aide familiale

Le 22/12/2022

Temoignage aide familiale

Bonjour, je suis aide familiale depuis 14 ans. J’aime mon métier. Je suis là pour aider les personnes à rester le plus longtemps à leur domicile et si possible jusqu à leur dernier souffle. C’est un métier qui n’est pas toujours facile car on s’attache aux personnes et qu’on fait de notre maximum pour leur bien-être ! Parfois, on se sent impuissant face à certaines situations.

Des décès,  AVC, embolies pulmonaires, anémie, problèmes cardiaque, j’en ai régulièrement rencontré avec mon métier.

Les décès arrivent et c’est bien entendu "normal". Depuis 1 an, je constate que mes bénéficiaires ont sans arrêt des soucis de santé. Beaucoup doivent être hospitalisé. J ai également eu beaucoup de décès par rapport aux autres années. Je n ai pas le temps de me remettre d’un décès qu’un autre à déjà lieu. Psychologiquement ce n’est vraiment pas évident!

Avec mes collègues on en parle énormément. On pense réellement que le vaccin a affaiblit nos bénéficiaires et ont tué d’autres. Car c’est sans arrêt et coup sur coup ! Comment expliquez cela ?

Certains bénéficiaires me disent que le vaccin les a mit K.O qu’ils se sentent faible depuis qu’ils l'ont fait!

J'ai moi-même été vaccinée (1 dose d’AstraZeneca) j‘ai eu des effets secondaires. Température (40°) courbatures +++, maux de tête atroces et des tremblements incontrôlables. 48h après c’était fini.

Depuis ce vaccin, je suis tout le temps malade, 3 fois le covid, 1 fois la grippe plus des rhinopharyngites, angines etc... Mon système immunitaire est affaiblit. 14 fois malade en 1 an ça fait beaucoup quand même.

Ce vaccin pour moi, réveille toutes nos faiblesses.

J’ai tellement vu de bénéficiaires mal en point et malheureusement décédés que je suis certaine que le vaccin a accéléré le processus de maladie etc.

Je vous remercie de m’avoir lue et vous souhaite une bonne soirée.

Audrey

Témoignage reçu fin décembre 2022

« Died Suddenly » (documentaire)

Le 29/11/2022

Traduction google de la critique du documentaire :

« Died Suddenly » est un documentaire typique de Stew Peters

Le même gars qui nous a discrédités avec les ordures « COVID est un venin de serpent »

Les gens font le buzz pour le nouveau documentaire « Died Suddenly ». Je l’ai regardé, et ça m’a mis en colère. Voici pourquoi.

Il y a d’excellentes informations dans ce film. Des informations qui pourraient – potentiellement – ouvrir les yeux et l’esprit des gens. En particulier, les entrevues avec les embaumeurs et les pompes funèbres sont incroyables. Le long matériau fibreux blanc qu’ils ont trouvé dans les artères et les veines des personnes décédées après le déploiement du vaccin est vraiment horrible. Ce n’est pas nouveau, mais c’est présenté au même endroit d’une manière très convaincante, en particulier la scène où vous le voyez être retiré d’un cadavre lors d’une séance d’embaumement.

Le film aurait été beaucoup plus efficace s’il s’était concentré principalement sur cela et avait creusé plus profondément. Par exemple, il reste à savoir si les caillots sont ce qui cause la mort des gens, ou s’ils forment post mortem. Il aurait été utile de montrer de quoi ils sont faits et de prouver qu’ils sont distincts d’un autre type de coagulation post mortem. Il y a d’autres choses qui auraient pu être faites pour présenter des arguments beaucoup plus solides au sujet des caillots.

Mais malheureusement, le film entache et ternit le matériel sur les caillots et d’autres informations importantes (1) en le recouvrant de beaucoup de déchets. Et c’est vraiment dommage dans ce cas parce qu’il y a beaucoup d’informations précieuses et vraies dans le film qui sont maintenant entachées par le fait d’être mélangées avec tant de fausses informations.

Dans le montage d’ouverture du film, entrecoupé de clips liés aux personnes qui meurent subitement, nous voyons des images et des clips liés à ce qui suit: MK Ultra, CIA et Project Mockingbird, Lee Harvey Oswald et l’assassinat de JFK, des écrans verts avec des décapitations d’ISIS et des écrans verts de Zelensky, les armes de destruction massive de George W. Bush en Irak, les mots « Théorie du complot, Alex Jones portant un chapeau en papier d’aluminium, le reportage prématuré de la BBC sur l’effondrement du bâtiment 7 du WTC, (faux?) Des images d’atterrissage sur la Lune, des ovnis, du Bigfoot et ce qui semble être le monstre du Loch Ness.

Quel était l’intérêt d’intercaler le montage avec tout ce fourrage de théorie du complot ? Était-ce pour planter dans l’esprit du lecteur que ce qu’ils étaient sur le point de voir était à égalité avec Bigfoot et le monstre du Loch Ness? Que seul un théoricien du complot portant un chapeau de papier d’aluminium prêterait attention au matériel de ce film? Que c’est comme toutes les autres théories du complot là-bas?

Quelle autre raison possible pourrait-il y avoir d’associer votre film à ces choses, à moins que votre objectif ne soit de le discréditer aux yeux de tout observateur qui n’est pas « dans » les théories du complot? Si l’objectif est d’atteindre un public plus large, le documentaire se tire une balle dans le pied dans les trois premières minutes – même si toutes les théories du complot auxquelles il est fait allusion dans ce montage sont vraies. S’ils veulent saboter leur propre film, très bien. Mais ils discréditent également le reste d’entre nous luttant contre le fascisme biomédical envahissant, associant tout dans ce film à Bigfoot. Et ça me fait chier.

Rappelez-vous, Peters est le gars qui nous a apporté le film maintenant totalement discrédité qui a essayé de faire valoir que COVID était mortel parce qu’il avait des similitudes avec le venin de serpent et se propageait par l’eau contaminée. Lui et son équipe sont soit terribles pour vérifier des informations fiables, soit ils sont engagés dans une campagne délibérée pour discréditer le mouvement pour la liberté de la santé.

Quel est l’intérêt de faire un documentaire comme celui-ci si vous n’allez pas essayer d’atteindre un public plus large, des gens qui ne sont pas à bord mais qui sont potentiellement persuadables ? Et si vous allez faire cela, associer immédiatement votre travail à Bigfoot, etc. n’est pas une bonne idée. Mais au-delà de cela, vous voulez faire tout ce que vous pouvez pour vous assurer que vous avez fait preuve de diligence raisonnable sur toutes les informations et les faits du film. Si vous laissez les faux fruits à portée de main à cueillir par les opposants et les vérificateurs de faits pour les démystifier, il devient très facile d’ignorer et de rejeter le reste du contenu.

Beaucoup de gens m’ont dit quelque chose du genre : « Ce film fait des merveilles pour réveiller les gens. Alors, que se passe-t-il si ce n’est pas totalement exact ou si c’est sensationnaliste? » Pour être clair, je n’ai pas vraiment de problème avec le ton du film. Nous devons être stratégiques dans nos messages pour atteindre un public plus large. Mais c’est une fausse dichotomie. Vous pouvez être 100% véridique et précis et aussi créer un film avec des messages stratégiques. Ce sera beaucoup plus efficace et c’est une meilleure stratégie à long terme. Nous ne pouvons pas adopter une mentalité de fin justifie les moyens. C’est la mentalité de ceux que nous combattons. Si nous ne valons pas mieux que cela, alors nous avons déjà perdu.

De plus, cette argumentation ne tient pas compte des dommages que le film a causés à notre cause. Les avantages et les dommages potentiels sont plutôt intangibles et difficiles à évaluer, mais si vous adoptez un calcul purement utilitaire, vous devez au moins essayer de les pondérer les uns par rapport aux autres.

Igor Chudov a récemment couvert un article qui a été publié dans une revue scientifique préconisant de « vacciner contre la désinformation COVID-19 » en les exposant à des informations délibérément absurdes. C’est pourquoi il est si important pour nous de bien faire les choses.

Et il s’avère que l’équipe derrière ce film a fait des erreurs très simples, comme inclure des images d’un jeune joueur de basket-ball qui s’est effondré sur le terrain en décembre 2020 avant le déploiement du vaccin COVID et qui n’est même pas mort. Avec autant de séquences à choisir, pourquoi choisir celle-là ? Et ce n’est pas le seul. Il y a d’autres erreurs de base discutées dans ce post par Steve Kirsch. Steve blâme le fact-checker pour ne pas avoir mentionné la viande du film (les caillots), mais si les faits sont réellement faux, alors c’est la faute des cinéastes, pas des fact-checkers. Ne laissez pas de fruits à portée de main pour que les habitants du bas se rongent!

Voici quatre inexactitudes supplémentaires qui m’ont frappé comme un pouce endolori. Il peut y avoir plus:

1) La couverture des données DMED (la base de données médicales de l’armée). Mathew Crawford a examiné les données DMED et a découvert que les lanceurs d’alerte originaux avaient commis une simple erreur en comparant 2021 avec les années précédentes: ce qu’ils ont essentiellement fait, c’est compter chaque visite au bureau au lieu de chaque diagnostic. Donc, si vous étiez nouvellement diagnostiqué avec, disons, une myocardite, chaque visite que vous et tous les autres diagnostiqués avec la myocardite ont eu avec le système de santé militaire (plus ou moins) a été additionnée et comparée au nombre total de personnes qui avaient été diagnostiquées avec une myocardite aucours des années précédentes. (Les détails sont un peu plus nuancés, mais cela capture l’essentiel de l’erreur.)
Cela signifie que, bien qu’il y ait eu une augmentation de nombreux diagnostics de santé différents, il n’était pas aussi important que ces lanceurs d’alerte le pensaient et que Thomas Renz a attiré l’attention des gens avec son témoignage lors de l’audience « Second Opinion » du sénateur Ron Johnson, qui apparaît dans le film.
https://roundingtheearth.substack.com/p/defining-away-vaccine-safety-signals-55a

Le plus étrange à ce sujet est qu’aucune des personnes impliquées dans la révélation du scandale DMED n’a montré le moindre intérêt à corriger ses erreurs et ne l’a pas fait pour ce film bien qu’elle ait été dûment informée de ses erreurs, et donc ces mensonges continuent d’être répétés et maintenant amplifiés par Stew Peters.

2) Baisse des taux de natalité en Australie. Oui, les taux de natalité dans la plupart des régions du monde ont considérablement diminué à la fin de 2021 et surtout en 2022, et dans de nombreux cas, cela peut être lié au déploiement de jabs COVID, comme je l’explique dans mon article (parfois mis à jour) ici

Cependant, un graphique montré dans le film affiche des statistiques pour plusieurs pays, y compris une baisse massive des taux de natalité pour l’Australie qui ressort comme un pouce endolori. Il s’avère que cette énorme baisse est simplement due à un problème de déclaration où le nombre de naissances à partir de décembre 2021 est considérablement sous-estimé lorsque les statistiques officielles sont publiées, puis généralement pas mis à jour beaucoup plus tard. Donc, cette énorme diminution montrée dans le film est tout simplement fausse:
https://jessicar.substack.com/p/update-on-whats-going-on-with-births

3) Le taux incroyablement élevé de fausses couches dans le rapport de Pfizer à la FDA. La discussion sur le taux élevé de fausses couches signalé par Pfizer à la FDA (plus de 80%) déforme complètement les données. J’ai vu cette erreur répétée plusieurs fois.

Le 30 avril 2021, Pfizer a préparé un document d’expérience post-commercialisation à soumettre à la FDA résumant tous les rapports d’événements indésirables (EI) qui avaient été soumis à Pfizer concernant leur vaccin COVID jusqu’au 28 février 2021. Voici une description (page 5) des sources de données utilisées pour ce document

Le rapport indique qu’il y a eu 270 grossesses uniques signalées, dont 32 ont eu des résultats rapportés. Et parmi ceux-ci, 25 ont signalé une fausse couche, pour un taux de 78% (et si vous incluez les mortinaissances et les décès néonatals, cela monte à 87,5%). Horrible! Sauf que ce n’est pas l’interprétation correcte de ces chiffres.

Cette partie du document (tableau 6, page 12) énumère tous les rapports d’EI où la femme était enceinte. Dans certains d’entre eux, la grossesse était liée à l’EI (comme un rapport de fausse couche ou « exposition maternelle pendant la grossesse ») et dans certains cas, elle ne l’était pas (douleur au site de vaccination ou nausée).

Le plus grand nombre de déclarations concernait soit « l’exposition maternelle pendant la grossesse » ou « l’exposition pendant la grossesse » (140 déclarations combinées). Étant donné que le vaccin n’était pas initialement recommandé pour les femmes enceintes, l’administrer aux femmes enceintes pouvait être considéré comme un événement indésirable à déclaration obligatoire,même si rien de grave ne se produisait.

Le calcul du taux de fausse couche n’a aucun sens parce que le dénominateur est inconnu. Vous auriez besoin de savoir combien de femmes enceintes ont reçu le vaccin au cours des 20 premières semaines de grossesse d’ici la fin du mois de février 2021. Nous n’avons aucune idée de ce qu’était ce nombre, mais il était certainement beaucoup plus élevé que 32 ou 270.

Pensez-y de cette façon: nous savons que les systèmes de déclaration volontaire comme VAERS sont massivement sous-déclarés. Eh bien, les données de sécurité « post-commercialisation » de Pfizer sont les mêmes: il s’agit essentiellement de déclarations volontaires à Pfizer, qui peuvent provenir de personnes ou de systèmes de déclaration gouvernementaux basés sur des rapports de personnes. Alors, quelles sont les chances que frapper une femme qui s’avère être enceinte s’enregistre dans l’esprit de quelqu’un comme un événement indésirable, et quelles sont les chances qu’ils signalent ensuite cet EI à Pfizer ou à tout autre système qui se retrouve entre les mains de Pfizer? Les chances sont extrêmement faibles, ce qui signifie massivement sous-déclarées. Les chances seront beaucoup plus élevées si vous êtes enceinte, si vous vous faites piquer, puis si vous subissez une fausse couche ou une mortinaissance peu de temps après (bien que même dans ce cas, il y aura une forte sous-déclaration).

D’une manière ou d’une autre, les informations contenues dans le rapport ont été interprétées comme si Pfizer avait suivi ces femmes enceintes, et parmi celles dont les issues de la naissance sont connues, un pourcentage énorme a fait une fausse couche. Dans certains cas, j’ai même vu des gens appeler cela des « femmes enceintes de l’essai clinique de Pfizer ». Non! Ce n’est pas de cela qu’il s’agit. Les données sont générées d’une manière similaire au VAERS, sauf qu’ici, nous ne pouvons même pas utiliser le nombre total de personnes (ou de femmes) vaccinées – nous aurions besoin de connaître le nombre total de femmesenceintes, et nous ne le faisons pas, et Pfizer non plus.

Donc, l’essentiel est que les informations sur les fausses couches dans le rapport Pfizer ont été mal interprétées, que les erreurs d’interprétation ont été répétées et amplifiées ad nauseam (y compris dans « Décédé subitement »), et en fait, le rapport ne fournit absolument aucune indication sur le taux de fausse couche après la vaccination COVID.

Des erreurs similaires ont été répétées concernant une étude du CDC publiée dans le NEJM à l’automne 2021 sur la base des données V-Safe, qui est couverte et corrigée dans ce post

Voir aussi la discussion basée sur les données V-Safe mises à jour ici :

4) L’agenda du dépeuplement. Environ 5 minutes après le début du film, ils montrent un Ted Talk de Bill Gates en 2010, où il dit: « Le monde d’aujourd’hui compte 6,8 milliards de personnes. Cela se dirige vers environ neuf milliards. Maintenant, si nous faisons un excellent travail sur les nouveaux vaccins, les soins de santé, les services de santé reproductive, nous pourrions réduire cela de, peut-être, 10 ou 15%. »

Puis ils ont coupé à Chad Whisnat, un directeur de funérailles simple et terre-à-terre, disant quelque chose à l’effet de: « Bill Gates a dit qu’il allait réduire la population avec des vaccins. Je ne peux penser à aucune autre explication que de prendre ces vaccins va tuer des gens. C’est une question de bon sens. Je n’étais pas un anti-vaxxer, mais je le suis maintenant. »

Je conviens que c’est l’interprétation sensée de cette déclaration. Et je suis d’accord que les gens au pouvoir, y compris Bill Gates, parlent publiquement de la nécessité de réduire la population mondiale – il y a un programme d’élite. Et cet ordre du jour n’a rien à voir avec l’interprétation de bon sens du Tchad de ce que Bill Gates a dit.

Comme indiqué publiquement, le programme de dépopulation des élites est un effort pour réduire lacroissance démographique. Et le moyen déclaré publiquement d’y parvenir est de réduire le taux de natalité en réduisant la mortalité infantile, en améliorant le niveau de vie et en créant un meilleur accès à la contraception et à l’avortement. Il est bien connu que dans les zones où les taux de mortalité infantile sont élevés, les femmes ont plus d’enfants. Il y a plusieurs raisons à cela que je n’aborderai pas, mais il suffit de dire que lorsque la mortalité infantile diminue, les femmes ont moins de bébés. Il en va de même lorsque le niveau de vie augmente. La réduction du taux de natalité fait plus que compenser le nombre de vies infantiles sauvées, de sorte que dans l’ensemble, vous obtenez une réduction de la croissance démographique au fil du temps.

Si les campagnes de vaccination de masse des bébés dans les pays pauvres réduisent la mortalité infantile, alors vous pouvez (quelque peu contre-intuitivement) réduire la croissance démographique – sans tuer les gens et sans les rendre stériles.

Je ne vais pas entrer dans les preuves pour ou contre l’affirmation selon laquelle les vaccinations réduisent la mortalité infantile dans les pays pauvres ou si c’est la meilleure façon d’atteindre cet objectif, principalement parce que mon point ici n’est pas de savoir si c’est vrai ou si Gates ou quelqu’un d’autrele croit réellement. Le point est le suivant : il y a une autre façon de comprendre ce que Bill Gates a dit dans son Ted Talk et une autre façon de comprendre les objectifs et les moyens de ceux qui parlent de la nécessité de réduire la population mondiale – une façon qui n’inclut pas le meurtre de masse et la stérilisation forcée (bien que certains considéreraient l’avortement comme un meurtre de masse).

« Died Suddenly » sort très fort de la porte de départ poussant l’idée que Gates et tous ces gens qui parlent de réduire la population mondiale veulent nous tuer et nous stériliser. Le problème est qu’ils ne reconnaissent ni n’abordent jamais l’autre façon d’expliquer ce qu’est le programme de dépopulation - celui axé sur la réduction des taux de croissance en abaissant la mortalité infantile. Tout ce qu’ils offrent, c’est l’interprétation du « sens commun ».

Et même si cela est vrai, c’est une façon terrible d’emballer les preuves factuelles de l’augmentation des décès et de la réduction de la fécondité à la suite des vaccins COVID-19. Vous ne convaincrez jamais quiconque est sur la clôture de ces faits quand ils sont emballés dans l’idée que les élites essaient de tuer et de stériliser la population, pour la simple raison que les déclarations publiques de ceux qui poussent le programme de réduction de la population permettent une interprétation différente et plus bienveillante de leurs actions. Cela ne signifie pas que nous devons ou devrions les croire ou prendre leurs déclarations publiques au pied de la lettre – cela signifie simplement que nous nous tirons une balle dans le pied en présentant les preuves de cette manière si nous voulons que les faits présentés dans le film atteignent un public plus large.

Et s’ils voulaient faire valoir que ce qui se passe réellement est dû au programme de dépopulation plus sensé et néfaste, alors ils devaient aborder l’interprétation alternative et expliquer pourquoi cela n’a pas de sens ou ne peut pas être toute l’histoire. Par exemple, ils auraient pu discuter de la participation de l’OMS à la campagne de vaccination contre le tétanos au Kenya, qui contenait également un antigène rendant les femmes infertiles, comme le démontre ce documentaire. Ils auraient pu apporter des preuves et des arguments pour expliquer pourquoi la courbe de croissance démographique n’est pas obtenue par la vaccination ou la réduction de la mortalité infantile. Mais au lieu de cela, ils ont poussé une interprétation unilatérale et de bon sens du programme de contrôle de la population de l’élite, ce qui, même s’il est vrai, constitue un argument qui est facilement rejeté.

[S’il vous plaît, ne lisez pas cela comme une défense de Bill Gates. Je ne prétends pas que ses intentions sont bienveillantes. Je souligne simplement l’existence d’un cadrage plus grand public et bienveillant pour le programme de dépopulation que les gens peuvent utiliser pour interpréter leurs déclarations publiques et celles des autres et pour discréditer complètement les informations importantes de ce film. Dans la section des commentaires, Igor Chudov dit que cette question est quelque peu académique, car avec la combinaison de la surmortalité chez les jeunes et de la baisse du taux de fécondité, nous assistons à un dépeuplement de facto, que ce soit intentionnel ou non. Je suis d’accord.]

Je me suis complètement lavé les mains de Stew Peters après son fiasco du venin de serpent « Watch the Water », et « Died Suddenly » n’offre aucune rédemption. Ce n’est pas quelqu’un en qui nous pouvons avoir confiance. En ce qui me concerne, Stew Peters fait mal paraître le reste d’entre nous, et que ce soit exprès ou non est un peu hors de propos, parce que de toute façon, il est mauvais pour le mouvement parce qu’à la fin, il nous discrédite même s’il fait certaines choses correctement. À l’avenir, il mérite 100% de notre dérision et 0% de notre attention.

Les gens ont dit: tout le monde fait des erreurs et aucun documentaire ne cloue les faits 100% du temps. Bien sûr, c’est vrai, et j’ai moi-même fait plus d’une erreur honnête. Mais même si toutes les erreurs de ce documentaire peuvent être attribuées à « tout le monde fait des erreurs », cela n’explique pas la tentative de noircir le film en l’associant à un tas de théories du complot comme Bigfoot et le monstre du Loch Ness. Ma conclusion est donc que les erreurs n’étaient pas honnêtes.

Et d’ailleurs, ce n’est pas seulement moi qui me sens déçu, en colère et trahi par Stew Peters. Certains des blessés vaccinés le font aussi

(1) D’autres informations que je considère comme vraies et importantes en plus des caillots post mortem comprennent: l’augmentation de la mortalité toutes causes confondues qui ne peut être expliquée par COVID; la baisse des taux de fécondité; les gens s’évanouissent en direct sur cassette; beaucoup de gens, en particulier les jeunes, meurent subitement sans raison apparente; et l’augmentation des cancers agressifs.

Ne doit pas être visionné par un enfant

Témoignage d'Anne Catherine Karcher - Décès suite à l'injection génique

Le 04/10/2022

Bonjour,
Mon mari est décédé en octobre dernier des suites de l'injection. Il avait 62 ans et était en pleine santé. Il a eu une encéphalite herpétique et est parti en une semaine. J ai écrit à la pharmacovigilance de Nice qui m ont répondu qu on ne pouvait pas exclure le fait qu il y ai un rapport entre le décès et la 2ème injection de mod€rn@.

Le 6 septembre 2021 il a fait sa 2eme dose.
Le mercredi 20 octobre au soir, après son sport habituel, mon mari n' avait pas très faim et était fatigué. Il a passé la journée du jeudi et vendredi sans manger avec une grande fatigue. Il s'inquiétait de son état et avait des pertes de mémoire ( oubli de mots de passe...).il pensait aller voir son médecin le lundi suivant. Samedi 23 , il allait un peu mieux et a décidé de faire la cuisine pour le repas du soir.
Ne l' entendant plus dans la cuisine, je me suis inquiétée et suis allée voir .il était de dos.Quand il s'est retourné, il avait le visage à demi paralysé et a fait une crise d'épilepsie. il est tombé. J' ai appelé les pompiers qui l' ont amené aux urgences de l'hôpital de Draguignan.
Les médecins pensaient à un AVC.et cherchaient un hôpital capable de le prendre en charge neurologiquement. Dimanche et lundi , il avait du mal à parler mais il y arrivait encore. Mardi matin, il a été transféré à l'hôpital de Cannes en réa.
Les médecins lui ont fait une ponction lombaire et ont alors diagnostiqué une encéphalite herpétique. A partir de ce moment, il n ' a plus parlé et son état s'est très vite dégradé.il était dans un semi coma. Il est décédé le samedi 30 octobre.
Anne Catherine Karcher

Message du groupe : Témoignages Vaccin CoVid - Décès - Effets indésirables

Comment les vaccins COVID suppriment le système immunitaire

Le 29/01/2022

Dans un article publié sous forme de préimpression, Stephanie Seneff, Ph.D., a décrit un mécanisme des vaccins COVID qui entraîne la suppression du système immunitaire inné, et comment cela conduit à une augmentation des cas de cancer chez les personnes ayant reçu les vaccins.

Article immu1

Pa Dr. Joseph Mercola

L’histoire en bref :

Dans un article de recherche non évalué par des pairs publié la semaine dernière, Stephanie Seneff, Ph.D., décrit un mécanisme des injections de COVID qui entraîne la suppression de votre système immunitaire inné. Il le fait en inhibant la voie de l’interféron de type 1.

Le vaccin COVID peut amener les neurones de votre cerveau à produire des protéines de pointe toxiques, ou à absorber des protéines de pointe circulantes, et les neurones tentent d’éliminer les protéines de pointe en les transmettant par des exosomes.

Les exosomes sont captés par la microglie, les cellules immunitaires de votre cerveau, qui activent une réponse inflammatoire, ce qui peut contribuer à des troubles cérébraux dégénératifs.

Deux microARN, miR-148a et miR-590, jouent un rôle central dans ce processus. Ces microARN – excrétés dans les exosomes avec la protéine spike – perturbent de manière significative la réponse de l’interféron de type 1 dans toute cellule, y compris les cellules immunitaires.

En moyenne, il y a deux fois plus de rapports de cancer après les injections de COVID que pour tous les autres vaccins combinés au cours des 31 dernières années.

Le fait que le signal soit aussi fort est encore plus remarquable si l’on considère que la plupart des gens ne pensent pas que le vaccin COVID puisse être une variable dans l’apparition de leur cancer, et ne le signalent donc jamais.

Dans cette interview, l’invitée de retour, Stephanie Seneff, Ph.D., chercheuse principale au MIT depuis plus de cinq décennies, discute de son dernier article, “Innate Immune Suppression by SARS-CoV-2 mRNA Vaccinations. The Role of G-quadruplexes, Exosomes and MicroRNAs”, co-écrit avec le Dr Peter McCullough, ainsi que deux autres auteurs, le Dr Greg Nigh et le Dr Anthony Kyriakopoulos.

Auparavant, Nigh et Seneff avaient coécrit un article complet détaillant les différences entre la protéine spike et la protéine spike du vaccin de COVID.

Dans un article de recherche non révisé par des pairs, publié la semaine dernière sur le service de préimpression Authorea, Nigh et Seneff et leurs autres co-auteurs examinent en profondeur les mécanismes des injections de COVID et montrent qu’elles ne sont absolument pas sûres ni efficaces.

Les injections suppriment en fait votre système immunitaire inné.

“Je pense que McCullough est fantastique et je suis très heureuse qu’il collabore avec moi”, déclare Seneff. “J’espère vraiment que nous serons en mesure de trouver un journal qui accepte de le publier. Il se peut que nous devions chercher une sorte de média alternatif pour le faire publier.

“C’est vraiment incroyable la quantité de censure qui sévit en ce moment. Je suis tout le temps en état de choc. Je continue à penser que ça ne va pas s’aggraver, que ça va vraiment s’améliorer, mais il semble que ça ne cesse d’empirer.

“Je n’en vois pas la fin. C’est très décourageant… L’industrie pharmaceutique a tellement d’argent derrière elle qu’elle a tout mis en place pour s’assurer que rien ne lui échappe…

“Nous espérons le publier sous forme de préimpression, mais, chose remarquable, ils peuvent également le rejeter au niveau de la préimpression. Nous travaillons sur cet aspect, mais ce n’est pas facile. Lorsque vous écrivez quelque chose d’aussi radical, ils se battent vraiment pour que cela n’apparaisse pas sur le web.”

Le 16 janvier 2022, le service de préimpression Authorea a publié cet article sur son site web, en lui attribuant un identifiant d’objet numérique, le rendant ainsi officiel.

Des signaux de sécurité exceptionnellement forts

Comme l’a fait remarquer Mme Seneff, lorsque l’on examine les différentes bases de données relatives aux effets indésirables, on constate un signal de sécurité exceptionnellement fort – et les développeurs du plan COVID le savent. “Les chiffres sont hors de vue”, dit Seneff, et cela vaut pour tous les niveaux d’effets secondaires, de légers à catastrophiques.

Seneff a examiné les données sur le cancer, par exemple, et en moyenne, il y a deux fois plus de rapports de cancer après les injections de COVID par rapport à tous les autres vaccins combinés au cours des 31 dernières années.

“C’est tout simplement incroyable, car c’est globalement deux fois plus élevé. Le cancer du sein, par exemple, est trois fois plus élevé pour ces vaccins en un an, qu’il ne l’est pour tous les autres vaccins pendant 31 ans. C’est un signal extrêmement fort”, explique Mme Seneff.

“Les lymphomes sont également beaucoup plus fréquents avec ces vaccins COVID. Le VAERS [le système américain de notification des effets indésirables des vaccins] fait état d’un signal tout à fait étonnant”.

Le fait que le signal soit aussi fort est encore plus remarquable si l’on considère que la plupart des gens ne pensent pas que l’injection de COVID puisse être une variable dans l’émergence de leur cancer, et qu’ils ne le signalent donc jamais. “

Cela me laisse perplexe qu’ils soient prêts à faire de tels dégâts sur la santé de l’ensemble de la population mondiale. Je ne comprends pas ce degré de méchanceté”, dit Mme Seneff.

Perturbation de l’interféron de type 1

Les injections COVID suppriment votre système immunitaire inné en inhibant l’interféron de type 1

L’une des premières études qui a mis la puce à l’oreille de Seneff et McCullough est une étude indienne, dans laquelle des cellules humaines cultivées ont été exposées à des nanoparticules d’ADN qui leur ordonnent de fabriquer la protéine de pointe du SRAS-CoV-2, comme le font les injections de COVID.

La souche cellulaire est appelée HEK-293. Ces cellules ont été prélevées sur les reins d’un fœtus avorté dans les années 1980 et sont fréquemment utilisées dans la recherche. Bien que prélevées sur les reins, ces cellules ont des propriétés semblables à celles des neurones. Lorsqu’elles sont programmées pour produire des protéines de pointe, ces cellules libèrent ces protéines à l’intérieur d’exosomes, des nanoparticules lipidiques dans lesquelles les protéines de pointe sont emballées.

Les exosomes agissent comme un réseau de communication pour les cellules. Lorsqu’une cellule est soumise à un stress, elle libère des exosomes contenant certaines des molécules qui la stressent. Ainsi, dans le cas des plans COVID, les exosomes contiennent la protéine spike et le microARN.

Les micro ARN sont des molécules de signalisation capables d’influencer la fonction cellulaire.

Ils amènent la cellule à modifier son comportement ou son métabolisme.

En général, ils le font en supprimant certaines enzymes.

L’étude indienne a trouvé deux microARN spécifiques à l’intérieur des exosomes libérés par ces cellules de type neuronal : miR-148a et miR-590.

Les chercheurs ont ensuite exposé les microglies (cellules immunitaires du cerveau) à ces exosomes. Ainsi, comme l’explique Mme Seneff, les neurones du cerveau produisent des protéines de pointe, ou absorbent des protéines de pointe en circulation et réagissent en libérant des exosomes.

Les exosomes sont ensuite récupérés par la microglie, les cellules immunitaires du cerveau. Lorsque les cellules immunitaires reçoivent ces exosomes, elles déclenchent une réponse inflammatoire. Il s’agit principalement d’une réponse à ces microARN, le miR-148a et le miR-590. Bien sûr, il y a aussi la protéine de pointe toxique.

Combinés, ils provoquent une inflammation dans le cerveau, qui endommage les neurones. Cette inflammation, à son tour, peut contribuer à un certain nombre de troubles cérébraux dégénératifs. Les particules lipidiques de l’injection COVID, qui contiennent l’ARNm, sont similaires aux exosomes, mais pas identiques. Elles sont également très similaires aux particules lipidiques de basse densité (LDL).

“Je pense que les exosomes sont probablement un peu plus petits. Les particules du vaccin sont plus grosses. Elles ressemblent davantage à une particule de LDL.

Les particules vaccinales ont du cholestérol dans leur membrane, et elles ont des lipoprotéines.

Elles sont donc conçues pour ressembler à une particule de LDL.

“Mais ensuite, ils ajoutent ce lipide cationique, qui est vraiment, vraiment toxique – un lipide cationique synthétique qui le rend positivement chargé. Expérimentalement, ils ont découvert que ce lipide, lorsque la particule est absorbée par la cellule, est libéré dans le cytoplasme, où cet ARNm fabrique alors la protéine de pointe.

“Les injections de COVID sont conçues de manière très intelligente, à la fois pour protéger l’ARN de la dégradation et pour que l’ARN soit très efficace dans la fabrication de la protéine spike. Il est très différent de l’ARNm que le virus produit, même s’il code pour la même protéine.”

La Dre Seneff a rédigé, avec Greg Nigh, un article complet détaillant les différences entre la protéine spike virale et la protéine spike du vaccin COVID, qui a été publié dans l’International Journal of Vaccine Theory, Practice and Research en mai 2021. Il sert essentiellement d’introduction à la compréhension de ce dont nous parlons ici.

Pour en revenir à l’article indien cité plus haut, ils ont découvert que la microglie finissait par produire une inflammation dans le cerveau, et que les deux microARN jouaient un rôle central dans ce processus.

Le miR-148a et le miR-590 ont été placés dans ces exosomes avec la protéine spike, et ces deux microARN sont capables de perturber de manière significative la réponse de l’interféron de type 1 dans n’importe quelle cellule, y compris les cellules immunitaires.

L’interféron de type 1 permet également de contrôler les virus latents comme ceux de l’herpès et de la varicelle (qui provoque le zona).

Si la voie de l’interféron est supprimée, ces virus latents peuvent également commencer à émerger.

La base de données VAERS révèle que de nombreuses personnes qui ont été vaccinées signalent ce type d’infections. La suppression de l’interféron augmente également le risque de cancer et de maladies cardiovasculaires.

La réponse de l’interféron de type 1 est cruciale dans les infections virales

Comme l’explique Seneff, la réponse de l’interféron de type 1 est absolument cruciale en tant que première réponse à une infection virale. Lorsqu’une cellule est envahie par un virus, elle libère de l’interféron de type 1 alpha et de l’interféron de type 1 bêta. Ils agissent comme des molécules de signalisation qui indiquent à la cellule qu’elle a été infectée.

C’est ce qui déclenche la réponse immunitaire et l’active au début de l’infection virale. Il a été démontré que les personnes qui souffrent d’une infection grave par le SRAS-CoV-2 ont une réponse en interféron de type 1 compromise. Comme le note Seneff :

“Il est ironique que les vaccins soient administrés pour vous protéger du COVID,

alors qu’ils produisent une situation dans laquelle vos cellules immunitaires sont mal équipées pour combattre le SRAS-CoV-2 s’il pénètre dans la cellule.

Le truc, c’est que le vaccin produit une énorme réponse en anticorps, ce qui est typique d’une maladie grave.

“Ainsi, le vaccin COVID trompe votre système immunitaire en lui faisant croire que vous avez eu un cas grave de COVID.

C’est vraiment intéressant, parce que le virus a franchi la barrière des muqueuses des poumons et la barrière vasculaire du sang pour atteindre les muscles. En outre, il a été déguisé.

“L’ARN ne ressemble pas à l’ARN d’un virus, il ressemble à une molécule d’ARN humain. Une partie des modifications apportées à l’ARNm consistait à le rendre très robuste, afin qu’il ne puisse pas être décomposé. Il est également très efficace pour fabriquer rapidement une protéine de pointe, ce qui pose également un problème car cela entraîne de nombreuses erreurs, ce qui est un autre problème…

“Les cellules immunitaires absorbent les nanoparticules et les transportent dans le système lymphatique jusqu’à la rate. De multiples études ont montré qu’elles finissent dans la rate… les ovaires, le foie, la moelle osseuse… La rate, bien sûr, est très importante pour la production d’anticorps.”

Il est important de noter que la réponse en anticorps obtenue par l’injection de COVID est exponentiellement plus élevée que celle obtenue lors d’une infection naturelle, et la recherche a montré que le niveau de réponse en anticorps augmente avec la gravité de la maladie.

Ainsi, le vaccin imite essentiellement une infection grave.

En cas d’infection légère, il se peut que vous ne produisiez aucun anticorps, car les cellules immunitaires innées sont suffisamment fortes pour combattre l’infection sans eux.

C’est lorsque votre système immunitaire inné est faible que vous avez des problèmes, et une partie de cette faiblesse est une réponse interféron de type 1 supprimée. Si votre réponse à l’interféron de type 1 est déficiente, vos cellules immunitaires ne sont pas très capables d’arrêter la propagation du virus dans votre corps.

Selon Mme Seneff, si la supplémentation en interféron de type 1 n’a pas été recommandée jusqu’à présent, c’est parce que le moment doit être parfaitement choisi pour que la cascade immunitaire fonctionne correctement. L’interféron de type 1 ne joue un rôle définitif qu’au tout premier stade de l’infection.

Une fois que vous êtes entré dans un stade d’infection modérée ou grave, il est trop tard pour l’utiliser.

Les injections de COVID perturbent votre système immunitaire

Comme le note Seneff, les injections de COVID sont si peu naturelles que votre système immunitaire ne sait plus trop quoi faire.

“Mon impression est que les cellules immunitaires ne savent pas ce qui se passe. Il y a cette protéine toxique qui est produite en quantité massive par les cellules immunitaires. C’est extrêmement inhabituel. Il n’y a aucun signe d’une quelconque infection virale car ces ARN ressemblent à des ARN humains.

“C’est comme si les cellules immunitaires humaines décidaient soudainement de produire une protéine vraiment toxique, et d’en produire beaucoup – ce qui est exactement ce qu’elles font – et le système immunitaire est complètement déconcerté par cette situation. Les cellules immunitaires n’ont aucune idée de ce qu’il faut en faire.

“Bien sûr, ces cellules immunitaires qui sont surchargées de toutes ces protéines de pointe se disent qu’elles doivent s’en débarrasser et les expédient sous forme d’exosomes. Les microARN [dans les exosomes] pensent que les cellules réceptrices vont avoir besoin de ces molécules de signalisation particulières pour les aider à faire ce qu’elles doivent faire pour faire face à cette charge toxique.

“Ainsi, vous répandez la protéine de pointe dans le reste du corps, juste pour dissiper la toxicité à laquelle vous faites face dans la rate, je pense. Ces exosomes sont également très bons pour former des anticorps. Un article intéressant a montré que les exosomes libérés contiennent une protéine spike dans leur membrane, l’extérieur de l’exosome.

“C’est assez cool que la protéine spike soit affichée à cet endroit, car cela permet aux cellules immunitaires – les cellules B et les cellules T qui doivent s’en approcher de près – de déterminer comment former leurs anticorps. Les anticorps sont formés pour correspondre à la protéine toxique qui est exposée à la surface des exosomes.

“Après environ 14 jours de la deuxième injection, les exosomes ont induit une réponse anticorps. Les chercheurs ont estimé que les exosomes jouaient un rôle essentiel dans cette réponse anticorps extrême produite par les cellules B et les cellules T, le système immunitaire adaptatif.

“Mais je pense que la façon dont le vaccin fonctionne est qu’il n’y a pas de jeu que vous pouvez choisir autre que de produire des anticorps. C’est le seul moyen de lutter contre ce virus. C’est une protéine toxique qui est produite et libérée par ces cellules immunitaires, et la seule chose que vous pouvez faire pour l’arrêter est de fabriquer des anticorps.

“Elles essaient de produire des tas d’anticorps qui vont se coller sur ces protéines toxiques de pointe et les empêcher de pénétrer par le récepteur ACE2. C’est le rôle des anticorps. Ils font un bon travail, au début… Il est vrai qu’ils vous protègent de la maladie.

Malheureusement, les niveaux d’anticorps chutent de manière assez spectaculaire, assez rapidement.”

Il existe également des anticorps qui favorisent la maladie plutôt que de la combattre, et le niveau de ces anticorps diminue plus lentement que celui des anticorps protecteurs. Ainsi, après un certain nombre de mois, vous vous retrouvez avec une réponse immunitaire NÉGATIVE.

En d’autres termes, vous êtes maintenant plus vulnérable aux infections que jamais auparavant. Comme l’explique Seneff :

“Il y a un point d’intersection où les anticorps renforçateurs peuvent être plus forts que les anticorps protecteurs, et c’est à ce moment-là que vous pouvez obtenir ce renforcement dépendant des anticorps (ADE) que les gens ont vu dans le passé avec d’autres vaccins contre le coronavirus. Nous essayons toujours de voir si c’est le cas avec les vaccins COVID. Il existe des preuves ici et là, mais elles ne sont pas encore concluantes”.

L’importance des cellules T cytotoxiques

Après que l’étude indienne ait mis Seneff et McCullough sur la piste de l’interféron, ils ont découvert une étude chinoise qui suivait l’effet du vaccin COVID sur le système immunitaire au fil du temps. Ils ont découvert que l’infection provoquait une augmentation des cellules T CD8+, des cellules T cytotoxiques importantes qui éliminent les cellules infectées.

Comme l’a noté Mme Seneff, les cellules CD8+ sont un élément important de la défense contre le SRAS-CoV-2. Il est important de noter que les cellules T CD8+ ont augmenté en réponse à l’infection naturelle, mais pas en réponse à l’injection de COVID.

Ils ont également constaté une suppression de l’interféron de type 1 après l’injection. Ainsi, après l’injection, non seulement votre réponse de première intention – l’interféron de type 1 – est déprimée, mais la partie de la réponse immunitaire qui élimine les cellules infectées fait également défaut.

Le microARN qui influence le risque de myocardite

Un troisième microARN (ARNm) créé par l’infection naturelle par le SRAS-CoV-2 est le miR-155, et il joue un rôle important dans la santé cardiaque. Au début de la pandémie, on a signalé que le COVID-19 provoquait des problèmes cardiaques.

Seneff soupçonne les exosomes contenant le miR-155 d’être également présents après la pandémie et de jouer un rôle dans les dommages cardiaques signalés. Plus précisément, le miR-155 est associé à la myocardite.

Comme nous l’avons mentionné précédemment, les microARN suppriment certaines protéines qui provoquent ensuite une réponse en cascade compliquée. Lorsqu’une protéine particulière, qui est un acteur essentiel, est supprimée par un microARN, une cascade totalement différente se met en place.

Pourquoi des problèmes auto-immuns peuvent survenir après le jab (vaccin)

Les anticorps produits par le jab contiennent également plusieurs courtes séquences peptidiques qui ont été trouvées précédemment dans plusieurs cellules humaines liées à des maladies auto-immunes. Seneff explique :

“Kanduc a beaucoup écrit à ce sujet. C’est une experte de ces anticorps… La protéine de pointe [du SRAS-CoV-2] est très proche de la protéine humaine.

Cela signifie que lorsque vous construisez une réponse anticorps très forte contre la protéine spike, ces anticorps peuvent se confondre et attaquer une protéine humaine qui a une séquence similaire.

“C’est une forme classique de maladie auto-immune. C’est ce qu’on appelle le mimétisme moléculaire. Il y avait beaucoup de protéines différentes qui correspondaient. C’était assez surprenant… Il semble être très bien conçu pour induire une maladie auto-immune, si vous produisez des anticorps contre ces séquences dans la protéine de pointe.”

Problèmes neurologiques chez les femmes

Les injections sont également étroitement associées à des problèmes neurologiques tels que des tremblements et des secousses incontrôlables. Curieusement, cet effet secondaire touche de manière disproportionnée les femmes. Là encore, le mécanisme implique les exosomes. Seneff explique :

“J’ai le sentiment qu’il existe un signal très fort en faveur de l’idée, que je défends, que les cellules immunitaires de la rate fabriquent la protéine spike et la libèrent dans les exosomes. Des études sur la maladie de Parkinson ont montré que ces exosomes se déplacent le long des fibres nerveuses.

“Ils suivent le nerf splanchnique, se connectent au nerf vague, remontent jusqu’au cerveau et pénètrent dans tous les nerfs du cerveau. Quand vous regardez la base de données VAERS, vous voyez d’énormes signaux pour toutes sortes de choses qui suggèrent que différents nerfs sont enflammés.

“Par exemple, il y a 12 000 cas d’acouphènes associés au vaccin COVID-19, et ce n’est que ce qui est rapporté. Les acouphènes sont un signal fort. Les acouphènes vont correspondre à une inflammation du nerf auditif. Cela signifie qu’il faut partir de la rate, remonter le nerf vague, puis se connecter au nerf auditif pour provoquer des acouphènes.

“Ensuite, vous avez la paralysie de Bell, qui est une inflammation du nerf facial. Vous avez des migraines. Il y a plus de 8 000 cas de migraine, qui est liée à une inflammation du nerf trijumeau.

“Je soupçonne qu’elle passe aussi le long des fibres nerveuses de la colonne vertébrale, ce qui peut être à l’origine de certains de ces cas où l’on constate une paralysie. Les gens ont beaucoup de problèmes de mobilité liés à ces vaccins.

“Je vois la possibilité de provoquer de nombreuses perturbations de la gaine de myéline, et nous en parlons dans l’article. Cela implique, encore une fois, une signalisation complexe.

Le problème de la gaine de myéline peut être abordé par la perturbation de l’interféron de type 1.

“Cela, encore, implique quelque chose appelé facteur de réponse à l’interféron 9 IRF9. Cette protéine déclenche la production de sulfatide dans le foie, et cette protéine est supprimée par les microARN que j’ai mentionnés précédemment.”

Le sulfatide, un important transporteur de lipides, est le seul lipide sulfoné du corps humain. Votre foie fabrique la majeure partie du sulfatide, qui est ensuite transporté par vos plaquettes (cellules sanguines) vers d’autres zones de votre corps. La gaine de myéline contient de grandes quantités de sulfatide. C’est une partie de ce qui protège la gaine de myéline. Dans les maladies démyélinisantes, ce sulfatide s’érode, permettant finalement à la myéline d’être attaquée.

Seneff pense que la piqûre de COVID entraîne des dommages importants à la myéline, grâce à ces exosomes inflammatoires. Ces lésions ne se manifestent pas nécessairement tout de suite, bien que certaines personnes ayant reçu le vaccin subissent des effets dévastateurs aigus. Il peut s’écouler 10 ans ou plus avant qu’une maladie démyélinisante ne s’installe.

“Je pense que nous allons voir les gens contracter ces maladies neurodégénératives de plus en plus tôt dans leur vie par rapport à ce qu’ils faisaient auparavant”, dit Mme Seneff,

“et je pense que toute personne qui est déjà atteinte de l’une de ces maladies verra sa progression accélérée.”

Nous pourrions bientôt assister à une explosion des cas de maladie de Parkinson

Fait inquiétant, la perte de l’odorat et la dysphagie, l’incapacité à avaler, sont toutes deux des signes de la maladie de Parkinson, et ces deux affections sont signalées après coup par milliers. Donc, dans les années à venir, nous pourrions assister à une explosion de la maladie de Parkinson.

“Les études sur la maladie de Parkinson ont montré que des agents pathogènes présents dans l’intestin peuvent produire une protéine de type prion, ce qui correspond à la protéine spike. Les cellules immunitaires l’absorbent alors et l’amènent à la rate. Ce qui, bien sûr, provoque un stress.

“Une cellule immunitaire stressée dans la rate se régule et produit plus d’alpha-synucléine. L’alpha-synucléine est une molécule qui combat les infections, et c’est la molécule qui se replie mal en association avec la maladie de Parkinson.

“Je suis fasciné par toutes ces molécules qui ressemblent à des prions. Il y a la protéine prion elle-même, qui est associée à la MCJ, la maladie de Creutzfeldt-Jakob, mais il y a aussi l’alpha-synucléine et l’amyloïde bêta, il y a le TDP-43, qui est associé à la SLA.

“Toutes ces maladies sont surreprésentées dans la base de données VAERS pour les injections de COVID, par rapport à tous les autres vaccins combinés sur 31 ans. C’est tout à fait hors norme.

“Il y a 58 cas de maladie d’Alzheimer associés aux vaccins COVID, et 13 associés à tous les autres vaccins sur 31 ans. C’est plusieurs fois plus – 58 contre 13.

“La MCJ (maladie de Creutzfeldt-Jakob) est également beaucoup plus fréquente.

Elle est presque sept fois plus fréquente dans les cas du vaccin COVID.

La MCJ est une maladie terrible. On devient très infirme et on meurt au bout de quelques années. C’est la maladie classique à protéine prion. Elle est extrêmement rare. Seulement 1 personne sur 1 million est atteinte de la maladie de Creutzfeldt-Jakob.

“J’ai été contacté par une personne de France dont la femme a contracté la MCJ quelques semaines seulement après le deuxième vaccin. Il était absolument convaincu que le vaccin en était la cause.

En fait, 27 cas [de MCJ] ont été signalés dans le VAERS pour les vaccins COVID-19, contre seulement quatre cas dans toute l’histoire de tous les autres vaccins réunis.”

Problèmes de santé dont on peut s’attendre à une augmentation

À terme, Mme Seneff prédit que nous assisterons à une augmentation spectaculaire des infections et des cancers de tous types, des maladies auto-immunes, des maladies neurodégénératives et des problèmes de reproduction.

Comme nous l’avons mentionné, la recherche a démontré que la protéine spike s’accumule dans la rate et les ovaires des femmes.

Sans aucun doute, l’inflammation des ovaires n’est pas une bonne chose. Les hommes font également état d’un gonflement des testicules, ce qui pourrait également être le signe d’une inflammation.

Des données préliminaires montrent que les femmes qui reçoivent le vaccin au cours des 20 premières semaines de grossesse ont un taux de fausses couches de 82 % à 91 %.5 Il existe également des rapports VAERS décrivant des dommages au fœtus. Bien entendu, le vaccin pourrait également nuire à la fertilité future.

Comme décrit précédemment, certains anticorps produits par le vaccin peuvent réagir à des protéines humaines. Une protéine similaire à la protéine du pic que les anticorps attaquent est la syncytine, qui est essentielle à la fécondation de l’ovule. La crainte est que les anticorps attaquent et détruisent la syncytine, perturbant et empêchant ainsi l’implantation dans le placenta.

Omicron – Une bénédiction déguisée ?

Les vaccins perpétuent également le COVID, avec des variantes toujours nouvelles du virus.

“Dans le premier article que Greg et moi avons rédigé, nous avions prédit que les vaccins provoqueraient une émergence accrue de variantes de la protéine de l’épi, des versions modifiées du virus, sous la pression du vaccin”, explique Mme Seneff.

“En effet, il me semble que c’est ce qui se passe. Mais j’ai beaucoup d’espoir avec Omicron, car Omicron semble être un virus plus bénin, mais incroyablement infectieux. Il va se répandre dans la population et donner à tout le monde, essentiellement, un vaccin. C’est un peu comme un vaccin naturel, je pense.

“La recherche a montré qu’après avoir eu Omicron, on était protégé, dans une certaine mesure, de Delta. Delta est en train de disparaître de toute façon, parce qu’Omicron le chasse. C’est vraiment génial.

Je pense qu’Omicron est un don du ciel de Dieu”.

Cette bénédiction peut toutefois être annulée chez ceux qui ont reçu plusieurs injections de COVID. Chaque dose érode votre réponse immunitaire, de sorte qu’elle devient de plus en plus compromise à chaque injection. Là encore, cela est lié à la suppression de l’interféron de type 1, évoquée plus haut.

Qu’est-ce qui catalyse les dommages chez les athlètes ?

Plus de 400 cas de problèmes cardiaques graves et de décès ont également été signalés chez des athlètes professionnels, qui comptent parmi les personnes les plus saines de la planète. Quel mécanisme peut expliquer ce phénomène ? Comment se fait-il que les piqûres de COVID puissent causer suffisamment de dommages pour éliminer des jeunes à la biologie optimisée ?

Mme Seneff soupçonne qu’en étant en bonne santé, on peut avoir plus de récepteurs ACE2 dans le cœur, et que la partie S1 de la protéine spike du SRAS-CoV-2 se lie au récepteur ACE2. Elle pense que la protéine de pointe est acheminée vers le cœur par des exosomes, via le nerf vague, et, là encore, l’exosome miR-155 est associé à des problèmes cardiaques.

De plus, lorsque la protéine S1 se lie au récepteur de l’ECA2, elle désactive ce dernier. Lorsque vous désactivez l’ACE2, vous obtenez une augmentation de l’ACE, qui provoque une hypertension artérielle et élève l’angiotensine 2.

Lorsque l’angiotensine 2 est surexprimée, vous pouvez avoir une inflammation intense dans le cœur. Si vous faites un effort intense et que votre cœur est enflammé, vous pouvez déclencher un arrêt cardiaque, ce qui est ce que nous voyons dans beaucoup de ces cas d’athlètes. Ils s’effondrent sur le terrain.

G-quadruplexes

L’article de Seneff et McCullough s’intéresse également à ce que l’on appelle les G4 ou G-quadruplexes.

“Les quadruplexes G sont vraiment fascinants, et je ne les maîtrise pas du tout”, dit Seneff. C’est une biologie difficile, encore plus difficile que beaucoup d’autres choses que j’ai lues… “.

“Les G4 sont essentiellement un arrangement de guanines. Les guanines sont l’un des quatre nucléotides qui composent l’ADN ou l’ARN. La guanine est le G dans le G4. Ce qui se passe, c’est qu’une séquence de nucléotides sur une chaîne d’ADN ou d’ARN peut se replier sur elle-même et former des G-quadruplexes. Il s’agit de quatre guanines, situées à différents endroits sur la protéine, qui s’enroulent et se collent les unes aux autres.

“Il y a un métal au milieu – souvent du potassium ou du calcium – qui aide à stabiliser ces G4. Ce qui est intéressant avec eux, c’est qu’ils structurent l’eau qui les entoure. Ils forment de l’eau gélifiée alias eau de la zone d’exclusion (ZE)]…

“Ces G4 peuvent se former dans l’ADN, et cela l’empêche en fait de devenir actif. [L’ADN ne peut pas être converti en ARN, et il ne peut pas fabriquer de protéines s’il a ces G4. Probablement, l’eau EZ ne permet à rien de s’approcher. C’est comme être coincé dans un gel.

“Il y a beaucoup de G4 dans les régions promotrices de ces séquences d’ADN, et il y a beaucoup de protéines qui ont ces G4 dans leur région promotrice. Il est intéressant de noter que certaines protéines peuvent les démêler. Il y a des protéines qui peuvent se lier à elles et faire en sorte que le G4 se défasse, et cela active ou permet à la protéine d’être exprimée.

“C’est un élément régulateur qui contrôle quelles protéines peuvent être exprimées à partir de l’ADN.

Beaucoup de protéines qui ont ces G4 dans leur promoteur sont des oncogènes du cancer.

Tant qu’elles restent gélifiées, elles sont inactives, mais si elles se dégélifient, elles deviennent actives.

“Il s’avère que les protéines prions … [sont] fabriquées à partir d’ARN, et l’ARN possède ces G4. La protéine peut se lier aux G4 de l’ARN et les deux réagissent. La théorie est que la protéine devient un prion. Ces protéines prions ont deux façons d’être, l’une est sûre et l’autre ne l’est pas, et les G4 augmentent le risque de mauvais repliement de la protéine prion.

“La présence de ces G4, et la rencontre avec ces G4, augmente le risque de mauvais repliement dans la configuration de type prion. Ce qui est intéressant à ce sujet, c’est que la protéine spike est une protéine de type prion.

L’ARN qu’ils ont construit pour le vaccin COVID, ils ont fait ce qu’on appelle une optimisation des codons, ce qui implique de mettre beaucoup plus de guanines dans l’ARN que dans le [virus] original. Ils ont renforcé la guanine.

“L’augmentation de la guanine signifie une augmentation du nombre de G4, ce qui signifie une augmentation du risque de mauvais repliement de la protéine spike en une protéine de type prion. Je pense que les G4 augmentent le risque, le danger que la protéine spike agisse comme une protéine de type prion.

“Mais nous ne savons pas vraiment quelle sera la conséquence de la présence de tous ces ARN G4 dans le cytoplasme. Nous avons des quantités massives de ces ARN assis là avec leurs G4. Qu’est-ce que cela va faire au reste du processus de régulation du G4 ? Nous ne le savons pas. Personne ne le sait. Personne n’en a la moindre idée.”

Résumé

Pour résumer le point central du dernier article de Seneff, le vaccin COVID entraîne la suppression de l’interféron alpha, ce qui affaiblit votre système immunitaire. En effet, les régulateurs de l’Union européenne avertissent désormais que des injections répétées de COVID peuvent affaiblir l’immunité globale.

Le principal mécanisme est l’altération de la réponse de l’interféron alpha, qui est essentielle à la bonne activation de votre système immunitaire inné, votre immunité cellulaire, principalement vos cellules T et vos cellules tueuses. Lorsqu’elle fonctionne correctement, la cellule lance la réponse interféron de type 1 dès qu’elle est infectée par un virus.

Elle déclenche l’intervention des cellules immunitaires, qui tuent le virus et éliminent les débris. Cela active la composante humorale de votre système immunitaire, la production d’anticorps, qui prend plus de temps. (C’est pourquoi on dit que vous n’êtes pas protégé avant 14 jours après l’injection).

Comment l’interféron de type 1 est-il supprimé par le vaccin ? Il est supprimé parce que l’interféron de type 1 réagit à l’ARN viral, et l’ARN viral n’est pas présent dans l’injection de COVID. L’ARN est modifié pour ressembler à une molécule d’ARN humain, de sorte que la voie de l’interféron n’est pas déclenchée.

Pire encore, la voie de l’interféron est activement supprimée par le grand nombre de protéines de pointe produites à partir de l’ARNm de la piqûre et par les micro-ARN dans les exosomes libérés par les cellules immunitaires stressées.

Publié à l’origine par le Dr. Mercola.

Les vues et opinions exprimées dans cet article sont celles des auteurs et ne reflètent pas nécessairement celles de Children’s Health Defense,, de cogiito.com ou de la-corse-en-colere.org

Source : cogiito

Doctothon : Plus de 200 médecins s'expriment pendant 24h (vidéos)

Le 14/12/2021

Doctothon

Belle réussite du Doctothon,

du vendredi 10 décembre au samedi 11 décembre 2021 !

Merci à tous les docteurs qui ont rendu cette aventure possible.

12 millions de vues ! Plus personne ne pourra dire "Je ne savais pas".

Partie 1

Partie 2

Partie 3

Partie 4 (fin)

injection expérimentale anti covid les victimes israéliennes témoignent (video)

Le 05/12/2021

The Testimonies Project: risques de la vaccination covid, des victimes israéliennes témoignent
( www.vaxtestimonies.org)

Un médecin américain démonte la politique du "tout-vaccinal" en sept minutes (vidéo)

Le 28/11/2021

Scot youngblood

Sept minutes. C’est le temps qu’il aura fallu au docteur Scot Youngblood pour démontrer l’irrationalité du « tout vaccinal » actuel, lors d’une intervention qui s’est tenue au début du mois, devant les conseillers du comté de San Diego, aux États-Unis. Pour ce faire, le médecin ne s’est pas appuyé sur d’obscures études complotistes, mais sur l’évaluation que... le groupe Pfizer a lui-même réalisé de son vaccin.

« La meilleure façon d’examiner tout problème médical est avec un essai contrôlé randomisé. […] C’est ce que Pfizer a fait pour évaluer son vaccin, pour obtenir une EUA (autorisation d’utilisation d’urgence, ndlr). Il y avait 44 000 patients, deux grands groupes essentiellement égaux à tous égards, sauf qu’un groupe reçoit le vaccin et l’autre groupe reçoit le placebo », détaille Scot Youngblood.

Première constatation : les patients du groupe placebo ont effectivement été sujets à des formes grave de Covid-19, auxquelles la cohorte de vaccinés n'a que très peu fait face. « Mais ce qui n’a pas été évoqué, c’est l’augmentation des événements indésirables pour le vaccin. […] Les événements indésirables graves [sont] deux fois plus élevés. » On parle ici de crises cardiaques, d’accidents vasculaires cérébraux, de myopéricardites, de syndromes de Guillain-Barré, etc.

De plus, l’étude révèle qu’au bout de six mois, on a observé pratiquement le même nombre de décès dans les deux groupes : 15 chez les vaccinés et 14 dans le groupe placebo. « Et cela soulève une grande question : si le vaccin est si efficace pour prévenir les cas de Covid-19 sévères, alors pourquoi n’a-t-il pas sauvé des vies au plus fort de la pandémie contre le variant Alpha ? La réponse la plus probable est que les effets secondaires de ce vaccin ont annulé tous les avantages qu’il procurait contre le Covid-19. »

« Presque 40 % de ces morts se sont produites 48 heures après l’injection »

Pour le docteur, le problème vient de la protéine Spike. « C’est une toxine en soi. Elle se lie aux récepteurs ACE2 de votre corps qui sont essentiels pour réguler la tension artérielle, la coagulation et le système immunitaire. »

Les statistiques sont éloquentes : on relevait en moyenne, aux États-Unis, 158 décès associés à l’ensemble des vaccins chaque année. Depuis l’introduction des vaccins Covid-19, on en est désormais à plus de 17 000 morts signalés d’après le VAERS (Système de signalement d'effets indésirables des vaccins). « Presque 40 % de ces morts se sont produites 48 heures après l’injection, ce n’est qu’au jour 40, environ, que les taux de mortalité reviennent à la ligne de base. »

Face à ces chiffres alarmants, Scot Youngblood estime que les autorités sont entrées dans une espèce « d’aveuglement intentionnel ». « À l’ère du Delta, les vaccins ne réduisent pas de manière significative la transmission ou n’arrêtent pas l’infection. […] Et, comme ils utilisent la protéine Spike Alpha, vous obtiendrez 100 % des risques, mais seulement 40 à 60 % des avantages. »

Pour autant, Scot Youngblood n’est pas un opposant dogmatique aux vaccins contre le Covid-19, comme en témoigne la conclusion de son intervention : « [Ils] peuvent présenter un avantage dans certains cas. Mais, cette analyse doit être individualisée. La décision de se faire vacciner devrait être laissée aux patients, en consultation avec leur médecin. Il n’y a aucune justification médicale ou scientifique pour l’obligation vaccinale par le gouvernement ou un employeur. »

La vidéo en version française, traduite et doublée par Jeanne Traduction pour FranceSoir :

Source : FranceSoir

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Quand les doubles vaccinés meurent plus que les non-vaccinés…

Le 25/10/2021

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Morts vaccin

François Stecher analyse pour le Courrier des Stratèges les derniers chiffres de Public Health England sur les morts de la Covid. Et, le moins que l'on puisse dire, est qu'ils ne rassurent pas sur la prétendue protection que le vaccin apporte aux vaccinés. Démonstration par les chiffres officiels. 

Lire l'article : https://lecourrierdesstrateges.fr/2021/10/25/quand-les-doubles-vaccines-meurent-plus-que-les-non-vaccines/

Compilation des témoignages du groupe de rencensement sur les effets indésirables des vaccins

Le 06/08/2021

Bandeau groupe recensement

Excellent travail du site Théorie de la conspiration mon Q qui a déjà compilé 790 témoignages du groupe Facebook de recensement sur les nombreux décès et effets secondaires graves en France de cette pseudo vaccination de masse. On imagine aisément que ce n’est que la pointe de l’iceberg, les gens n’étant pas tous sur Facebook ou étant encore sous le choc et la sidération de la perte d’un être proche.

Accès à la page où vous trouverez deux PDF à télécharger ainsi qu’un glossaire des termes médicaux des différentes pathologies. Les PDF sont remis à jour quotidiennement.

Edit 15 août : le premier groupe de recensement a été fermé par Facebook, voici le second. Le groupe dispose maintenant d'un site pour déposer vos témoignages : https://recensementeffetsindesirable.fr/